C’est un immeuble d’habitation haussmannien. Il s’agit de le surélever en rendant habitable un comble perdu et créer une toiture mansardée avec brisis en ardoise et terrasson en zinc. Il y a aussi sur le jardin préservé à l’arrière de la parcelle une extension sur 2 niveaux qui tranche par la légèreté de ses façades en bois et verre. Viennent s’y superposer de grandes lames persiennées qui maitrisent et jouent avec la lumière sous les frondaisons des grands arbres centenaires...
Une parcelle, dans le centre de Montreuil, se présente étroite et longue avec sur rue un pavillon. Et puis derrière,s’est édifié un vaste bâtiment d’entrepôt en charpente bois. Le projet bénéficie d’une servitude de passage sur le fond voisin qui, en désenclavant la parcelle permet de pénétrer en tout point des bâtiments et d’aménager des lots indépendants. Le projet consiste aussi à surélever le pavillon sur rue et surélever / diviser l’ancien entrepôt en lots d’habitation mitoyens pour en faire des petites maisons de ville. Créer des terrasses, des petits jardins abrités, des grandes baies vitrées, voilà les solutions d’aménagement adoptées pour apporter convivialité et intimité aux 7 logements individuels projetés.
Un petit immeuble de ville est édifié dans un tissu pavillonnaire. Il tranche par sa hauteur, jaillissant au milieu des maisons. 5 logements sont aménagés avec un parking en sous sol. La façade sur rue en recul de l’alignement présente un rythme de percement régulier et se prolonge par une toiture cintrée en zinc avec des lucarnes rentrantes. Un passage cocher permet d’accéder aux pavillons voisins. La façade côté jardin s’étage en terrasse et balcon successifs qui prennent le soleil. Elle regarde les fonds de parcelle verdoyant des maisons voisines et leur répond de ses plantes grimpantes qui partiront à l’assaut des caillebotis métalliques de ses terrasses.
La société Française des Filets déménage. Le projet de réhabilitation qui touchera l’ensemble des constructions sera à usage mixte habitation/activité. La parcelle de 793 m2 est totalement occupée par les bâtiments industriels. Ceux ci ont emprisonné à force de rajout un ancien pavillon qui semble rejeté contre la rue Lafouge. Le projet contribuera à donner de l’air et du recul de ce côté. Les petites constructions précaires seront démolies, le pavillon libéré et la belle silhouette des bâtiments d’usine se développera en retrait. Á l’angle Lafouge/Benoit Malon, la halle de l’usine disparaitra pour un bâtiment neuf accueillant à RDC ateliers, dans les étages habitation et au sous sol parking. Celui ci est constitué d’un volume principal côté rue Benoit Malon surmonté d’une toiture cintrée en zinc qui se retourne côté rue Lafouge en se rabaissant par palier jusqu’au prospect des bâtiments d’usine. La copropriété du 19 rue Lafouge dés qu’elle sera constituée, engagera l’ensemble des travaux permettant de finaliser ce projet.
Une parcelle à vocation industrielle ancienne est située dans un tissu urbain diffus de pavillons et maisonnettes. Dans cette parcelle réhabilitée majoritairement en logements, il reste encore un bâtiment d’entrepôt en déshérence au milieu de son terrain, enclavé dans cette nouvelle copropriété de particuliers. Il s’agit de transformer cette construction de type industriel (structure métallique, remplissage de façade en aggloméré de ciment et couverture en bac sec) en une riante résidence de logements individuels mitoyens. De forme grossièrement parallélépipédique, le bâtiment est creusé /aminci sur son long pan afin de respecter les prospects en limite séparative et la nouvelle façade ainsi créée en recul sera percée de baies offrant les vues principales nécessaires aux logements de ce côté ci. Les surfaces d’emprise au sol dégagées par l’amincissement de la construction seront aménagées en terrasse jardin prolongeant et accompagnant chaque maison de ville. Les parkings nécessaires à la création de logements sont aménagés en surface sur l’assiette de terrain restant libre, s’imbriquant et s’insérant dans un continuum paysager avec les jardins privatifs.